Il se promène, glane au passage un escargot qu'il engloutit puis, repart en ayant un il sur une limace à sa gauche. Quel goinfre quand même. Pour se faire pardonner il nous offre pendant les nuits chaudes, sa belle lumière verdâtre. Merci quand même beau prédateur!
Ca, c'est original !
Une promenade pareille où l'on en vient à faire de telles rencontres n'est
pas donné à tout le monde ! On ne sait d'ailleurs pas forcément à quoi il
peut ressembler - ce qui était mon cas -, ce ver luisant sélongéen.
Vraiment une amusante... et instructive présentation. Puisse-t-il luire
longtemps de tous ses feux, et vous avec !
Beau travail...
Qui mérite les 5 étoiles. Je ne savais pas qu'elle ( car c'est le ver
femelle d'un insecte coléoptère, dont je ne me souviens plus du nom)
s'attaquait à l'escargot dans sa coquille. J'en ai aussi chez moi, et on
les repère très bien, les soirs d'été, avec leur belle lumière vert fluor.
Je comprends mieux, pourquoi je trouve beaucoup de coquilles vides; bien que ces pauvres escargots ont d'autres prédateurs. Merci Robert.